Ne pas toucher aux concessions des routes. Voici mon idée...
- Sébastien Neveu
- 9 juil.
- 1 min de lecture

1. Rendre visible un engagement concret
« J’annonce que chaque euro versé au péage servira directement à moderniser nos routes, voies ferrées et transports régionaux. »
Ça montre un choix clair : l’argent des usagers revient aux usagers.
2. Rassurer sur la gestion des concessions
« Les concessions ne sortent pas du champ public ; elles seront renouvelées sous un cadre plus exigeant et mieux contrôlé », en conformité avec le plan « Ambition France Transports 2030 » .
Cela rassure quant à la régulation et l’intérêt général.
3. Présenter un modèle de financement durable et équitable
La mesure vise à préserver la contribution publique (20 % part d’État ou via AFIT-France), tout en garantissant que les péages – près de 15 milliards € par an – ne financent que les infrastructures .
C’est un modèle transparent et équilibré entre capital et intérêt général.
4. Inscrire dans une perspective écologique
En ciblant les ressources vers le renouvellement du réseau ferroviaire et des mobilités décarbonées, on affirme un virage écologique clair et mesurable .
🎯 Des phrases-clés pour dynamiser votre propos
« Chaque automobiliste contribue désormais directement à la modernisation du train ou des routes » (principe de l’utilisateur-payeur).
« Ce fléchage adosse les nouveaux financements à des exigences fortes : transitions, entretien, écologie. »
« Ce modèle garantit que les péages ne profitent pas uniquement aux concessionnaires, mais à tout le pays : sécurité, emplois, transports du quotidien. »
🚀 En résumé
Ce choix politique peut servir de fil rouge dans un discours :
1. Transparence financière : ce que payent les citoyens sert clairement à l’infrastructure.
2. Régulation renforcée : concessions renégociées, contrôlées, dans un cadre modernisé.
3. Projet écologique : les recettes servent à financer des alternatives propres et durables.
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