Il m'arrive parfois de me demander si c'est le monde qui est trop froid, ou si c'est moi qui est trop chaud pour la politique, par la passion que je dégage, que je ressens pour les gens ou autre chose.
L'insensibilité m'offusque. L'indifférence me heurte aussi.
Et on ose me dire : "Va falloir faire tes preuves"...
Alors je marche dans les rues, j'écoute, je regarde, je discute, en quête de potentiels électeurs à notre faveur, pour notre majorité qui mérite d'avancer, de grandir, d'évoluer, faire des bons profils pour notre pays de demain.
Mais bien souvent, je peux en convertir une multitude de publics, je vois large, ils ne semblent pas comprendre au départ, mais les arguments permettent de comprendre mon choix. Et pour avancer avec eux.
Pourtant, je suis en harmonie et en parfait état pour le représenter, totalement fonctionnel, prêt à l'emploi, face à ces citoyens semblables aux changements, sans être extrême, par le centre, centre-droit, voir la droite, faire la différence par nos idées, par ce bleu politique, et pour gagner.
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