On ne change pas.
Quand il faut écrire, il faut penser à ces gens, les aimer, et aussi que le texte puisse convenir !
Un texte politique, c'est comme l'amour, on l'aime toute notre vie, puisque c'est notre histoire !
L'amour, comme mon ange, était si rare. Cela ne se trouve pas en coin de rue, ça prend tellement de place...
On met toutes nos peines, notre force, et sa joie de vivre pour quelques lignes.
Alors le but, c'est faire sourire au point que ça plaise, et faire rire autant une personne qui n'a jamais su rire des années auparavant.
Ce signe, c'est qu'on l'emporte tous avec soi.
Alors, dans ce café, là-bas, le serveur me dit : "La même chose ?"
Moi : "Euh... C'est à dire ?"
Lui : Bah, un expresso avec un verre d'eau, non ?
Rien que ça, un visage peut être familier... Ils repèrent et captive les gens.
Pouvoir écrire tellement de chose selon l'inspiration...
Les Européennes, on en parle souvent avec quelques personnes dont je ne dévoilerai pas qui, m'applaudit des 2 mains. Encourageant.
J'aurai tellement voulu partager ceci avec quelqu'un.
Je n'aime pas le garder pour moi. Ça fait égoïste.
Comme l'argent. Pas mon luxe.
Alors je pianote sur mon tel, en rêvant d'un mail, parlant de déceptions, sur la manière du comment aborder les européennes, et comment jouer la stratégie.
Je réitère mon engagement auprès de mon groupe politique pour cette élection à la demande de "untel" avec son soutien total...
L'évolution à tellement pris le dessus, va falloir maîtriser, seul malgré tout. Je l'imaginais encore ma collaboratrice, et aujourd'hui ? Je ne sais pas. Tout dépendra d'elle. De sa motivation. Je suis prêt à l'écouter.
Tout semble accessible, tout semble de pouvoir faire un choix.
Alors, Pessac, tant de gens passionnant, captivant, et un couple s'installe à côté de moi...
C'est très très froid.
Un long silence... Puis il y a eu les mots....
Pour ma part, je n'ai pas à rougir de ma situation croyez-moi.
Dites-vous les choses. Vraiment.
Soyez heureux. Parlez. Apaisez vos conflits.
Je n'ai pas eu cette chance. Faites le avant qu'il ne soit trop tard.
C'est l'après qui sera pire. Pour vous deux. Car il n'existera pas d'herbe plus verte ailleurs.
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