On aurait pu écrire ensemble.
On aurait pu collaborer sur le sujet de l'Europe.
Ça aurait certainement été très bien. Mais aujourd'hui, quelque chose de nouveau s'installe.
Ce n'est pas ce que je pensais vouloir. Ce n'est pas moins bien. Ce n'est pas mieux non plus. C'est l'endroit pour le faire.
C'est l'endroit que l'on peut plonger les yeux fermés. On peut s'abimer. Ou de se faire abimer.
Ce n'est pas ce que je pensais vouloir. Mais c'est celui qu'on offre les possibilités de se rattraper.
C'est ça qu'il faut vivre. Être sa propre inspiration. Ça donne un peu de liberté. D'autres manières de réfléchir à la politique. D'autres questions, d'autres envies, plus curieuses, plus légères, plus sincères...
On aurait pu marcher ensemble. Ce n'est pas ce qu'on a fait. Puisque l'idée peut venir de n'importe où et de n'importe qui.
Peu importe, c'est une nouvelle histoire, totalement différente qui nous attends, comme celle que je jouais en mélodie dans ma tête, parce qu'en fermant les yeux, cette porte se ferme devant vous pour en ouvrir une autre.
On change de pièce, pour d'autres idées, on investit l'espace.
Un terrain neutre nous attend pour écrire une histoire, il s'appellera le 9 juin 2024.
Bah quoi ? Vous avez cru que je parlais de quoi ? Ou de qui ;-)
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