Le plus grand paradoxe de ma vie est d'aimer la politique comme d'aimer la musique.
Je chante tout le temps, je tapote tout le temps comme en jouant à la batterie, même dans mon lit (avec les pieds), n'importe où, n'importe quand, surtout tard le soir, la nuit aussi. Jusqu'à 2h à 3h du matin...
Surtout quand j'écris politique. Alors là.
La fatigue n'existe plus. Je me prends même un café tiens. What else...
Je pense à la France de demain.
Je pense à ma ville pour 2026...
Qui portera la flamme bleue pour Le Mans 2026....
Je pourrais écrire comme je pourrais composer un titre quand je suis triste, chanter quand on pleure, joyeux, comme écrire avec le style, avec le rythme...
Je note quelques mots sur mon brouillon dans mon blog et le reprendre plus tard.
Ou écrire sur le moment et le laisser comme ça.
Nous ne pouvons pas être parfait.
J'expliquerai pourquoi, si jamais.... Sans filtre...
Certaine me disait : 'Comment tu fais pour rester soft, avec tout ce que tu reçois comme message, car moi, ça m'aurait vraiment énervée..."
Je chante comme je pourrais écrire le bonheur, comme je pourrais enseigner le bon sens, avec le sourire, comme je pourrais maltraiter la justesse.
Avec l'âge, j'ai appris de laisser les choses couler.
Des relations plus ou moins toxique m'as appris pas mal de choses.
J'écris comme je voudrais apporter des choix, des solutions, je vis pour ma passion de l'Europe, chaque mot à un sens.
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