Je crois qu'on a oublié que nous sommes pas surhumains...
On a même oublié d'essayer qu'on devrait pas l'être...
Nous sommes capables d'écrire ou de faire des choses prodigieuses mais on ignore bien trop souvent nos limites quelques soit l'incidence que cela aura sur nous-même.
Quand vient la nuit, ou même le soir, le militant politique ne se repose pas, il ressasse, il réfléchit, prévoit, calcule, imagine aussi....
Il pense aussi à son texte, qu'il aurait dû écrire
différemment, agir autrement sur un sujet, qu'il aurait pu mieux faire ou plus....
Le militant politique doit reprendre son souffle car il est comme n'importe quel héros du quotidien.
Pour pouvoir insuffler toute sa passion inlassablement.
Le militant aura besoin de la compréhension et d'amour pour ce qu'il fait.
Il en a vraiment besoin de penser qu'il fait de son mieux pour exister et qu'il mérite sa chance.
Et qu'il y en aura pas deux des comme moi.
Et ça, il faudra le savoir....
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