Il y aurait tellement de choses à dire ce soir, je crois, sur le temps écoulé. Ces dernières semaines ont étaient difficiles pour moi. Niveau sentimentalement.
Ça, c'est mon problème.
Il y aurait tant à dire si je prenais bien le temps et si l'envie me prenait. Mais peut-être que je n'ai pas le coeur de décortiquer la raison puisque moi-même je ne comprends pas, ce qui a été dit ou pas.
Je prends donc le pli de faire comme il me plaît comme il me semble.
J'ai trop donné a l'existence, aux autres, aux temps, à l'argent, j'en ai perdu au mien, le goût, l'appétence. Le souffle aussi.
Je reviens aux essentiels, à celle qui me tenait debout, à l'ivresse de ne penser qu'à elle, qu'aux projets d'un avenir radieux, avant qu'à moi...
Je prends donc désormais le chemin que je dois emprunter, celui-là même que j'ai perdu de vue à trop vouloir faire de ceux des autres, à vouloir tendre la main dès que le nécessaire est là, quitte à ce que l'on m'arrache, à patienter pour saisir l'insaisissable.
C'est difficile d'être moi avec la plupart, pourtant prévenue la vraie nature, et d'avancer de cette façon.
Pour elle, c'est gravé au plus profond de moi son existence dans ma vie. C'est elle. Pas une autre.
Elle me donnera toujours ce sourire. Malgré la colère.
Elle est tatoué dans ma chair je pense.
Je me cogne souvent.
J'ai besoin de ce silence énorme, de cette solitude, j'ai ce besoin de dire non quand c'est nécessaire, et retrouver la flamme d'autrefois.
Je renonce à rien, au contraire, Horizons sera ma force, d'y croire pour les Européennes, que de penser à celle qui avais ce regard et son sourire pleinement radieuse.
Alors, ce soir, je souhaite mettre un terme à ma désirée, celle qui ne me veux plus.
Je me tiens là, et réecrire des rêves pour nos citoyens....
N'en déplaise....
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