Je disais vouloir quitter ce blog une fois à 1000 sujets. Comme un chiffre symbolique. Et là, j'en suis à 982.
Je pense que mon ancienne partenaire me dirait de continuer. Encore et toujours. Pour garder une trace.
J'aperçois une Ministre déléguée chargé des Outre-Mer qui se met à me suivre sur X (Twitter). C'est flatteur. Ce n'est pas la première...
Je la salue et la remercie par avance.
Donc oui, je disais que j'arrêtais à 1000 et la retirer.
Et ça se trouve, je n'en ferai pas d'autres.
En vrai, je suis toujours là.
Différemment, en mieux, mais toujours là. Élargir le cercle, évoluer aussi...
En vrai, je ne sais toujours pas pourquoi je ne chercherai pas d'autre partenaire car c'est elle l'ultime. Car je sais qu'après, ce n'est pas pareil.
Je vois la vie comme en politique comme un passage furtif, un souffle sur un pissenlit, le vent nous porte sans lui-même savoir ce qu'il doit faire de nous. Même avec du talent et un bon niveau.
Je vois la vie comme quelque chose que je ne sais pas prendre au sérieux.
La seule chose dans laquelle je mets de la gravité, au sérieux, c'est l'éducation que j'ai reçue, et que j'ai transmis à mes enfants.
Non pas leur apprendre eux-mêmes à se plier, mais pour leur offrir le meilleur comme j'aurais fait à ma partenaire, ou aux citoyens, pour leur offrir le meilleur, leur inculquer l'idée de rêver grand, espérer, aimer, partager, transmettre, chanter, danser, pleurer comme j'ai pleuré, et ce n'est pas grave de pleurer... Si on a besoin, c'est comme ça.
Il m'arrive de pleurer puisque je suis sensible.
De pleurer devant un coucher de soleil, et à l'aube au pied de l'océan...
Je pleure ce qui est beau.
Quand je composais aussi.
Car l'émotion est mon point fort.
Comme à la scène, comme à la vie.
Et envers ceux qui comptent tant pour moi.
Je compte sur la vie pour me faire apprivoiser par le groupe de majorité dans ce top 15 des Européennes...
Tellement de choses à dire sur mon analyse pour faire gagner davantage en estimation pour des sièges supplémentaires...
Bref. Je vais voir pour cette aventure de continuer ici. Ou ailleurs. Ou pas.
Et d'ici là, je ne vais pas commencer à rêver quand il sera trop tard, ou plus tard.
Car les électeurs ne voteront plus du tout.
Et 2, je ne vais pas continuer ou attendre pour me sentir exister pour la politique.
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