Pardon....
Je vous dirais pardon...
Pardon de voir ces extrêmes si proche du but...
Pardon de ne pas pouvoir faire le nécessaire...
Parce qu'un militant ne peut pas avoir la parole dans les médias...
Coupé du monde....
Et d'être traité ainsi...
Pardon...
Je vous dirais pardon également que nos lois réalisées jusqu'ici, que les extrêmes diront de ça, qu'il est laid...
Alors qu'il était fort...
Je dirais qu'il était lourd parce qu'il était vif...
Je dirais pardon d'avoir les griffes coupées, pour pouvoir arracher vos voix pour vous faire éviter une drôle de vie à l'avenir....
Je dirais pardon aux militants qui était à mes côtés pour tracter, de sa visite volontaire pour remettre une couche, relancer le clash...
Un nom reste un nom.
Mais mon image pour #Horizons ne serait pas bonne...
Pour quel motif ?
Ça, c'est une rumeur....
Je dirais pardon à une personne précise...
À cette mauvaise blague mais que mon côté romancier n'ont pas l'esprit d'un personnage torturé.
Je suis celui qui écrit la politique qui combat les extrêmes. L'as-tu oublié ?
Oui, je suis unique. Et je resterai unique.
Si j'étais si torturé que ça, je n'écrirai pas ces lignes là je pense.
Alors je demande pardon aux électeurs qui ne verront pas dans l'hémicycle un candidat bosseur, qui fera la différence...
Je grandirai encore et encore chaque jour avec les mots que j'écris comme partenaire...
Cela fait des années que j'ai arrêté la guerre, mais de continuer à vivre en restant unique.
Je dirais pardon, pour tout le reste, que la suite promet d'être grande, que mes vacances arrivent, dans cette ville qui n'est pas la mienne...
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