Je vais prendre mon sac, monter dans le train et partir de l'autre côté du pays pour rentrer.
Je pars, donc.
Cette impression que mon âme à changer depuis des semaines, que ma pause vacances à changer depuis que je suis arrivé ici, cette connexion de Bordeaux à ne plus finir, que j'ai cette impression de parler une autre langue...
Que mes sens soient subitement mis en mode éveil, parce que rien n'est encore connu.
Et tout ce temps à trouver des réponses devient alors inutile, parce que loin les questions changent.
J'ai envie, ce soir, que ce flou reste ici, et que ce "Seb a de la chance", puisse repartir avec le sourire. Et que les réponses viennent ensuite.
La politique ? Je ne lâcherai rien. Mes textes continueront en pensant à elle. Ma très chère...
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