Auparavant, je vous ai raconté sur le sujet de la situation d'un musicien une fois derrière le rideau.
Maintenant, je vous raconte, à ma manière sur la politique, à l'envers du décor....
Dans l'ombre si vous comprenez mieux comme ça.
La politique, vous ne savez pas tout, je vous en veux pas.
Vous ne savez pas que derrière les lumières qui s'effondrent sur vous, toute la journée, sur ces longs discours pour convaincre, parfois comme des non-dits sur des bulles de savon.
Vous ignorez le nombre de personne qui peuvent se réunir pour un simple texte, soit à l'équivalent d'un travail en amont de long mois....
Parfois, ce sont souvent des lignes et des lignes pour écrire la nuit, qui s'installe, puisque la nuit porte conseil, pour être performant du lendemain, et sur l'avenir.
A devoir dire ses plus belles paroles de discours, puisque je ne suis pas là pour sublimer avec mes poèmes, pour étouffer avec des mots imprononçable. Juste faire quelque chose qui sors de l'ordinaire et faire la différence. Celui qui sort du lot.
C'est mon gagne pain. Mon talent.
Je veux cette reconnaissance, ce mérite. Ce mérite d'aller à ces élections puisque le niveau est là...
Vous ignorez la volonté féroce de vouloir le matin, de sortir des ténèbres, que le ciel s'embrase, et qu'enfin la lumière soit quand on sort l'idée de l'année.
Vous ne savez pas non plus aussi, que je demeure ce pauvre petit garçon, qui entend ce petit son de cloche, une note de musique et s'en inspire comme une compo' en imaginant un tube pour vous ?
Spectateur de votre vie, j'éponge vos choix par le pondre sur un papier, vous faire éviter un mauvais choix électorat de l'extrême par une idée majoritaire, puisque ces extrêmes représente un écran noir, un bruit qui s'écrase, le silence qui torpille, de la peur qui ronge...
Avec nous, quand tout va...Tout va vraiment.
Alors, si vous ne savez pas, juste une chose : Écoutez moi. Juste ça.
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