Peut-être que je ne parle jamais assez bien de politique que lorsque je le fais.
Qu'importe mais je me sens vulnérable. Impuissant. C'est comme ça que je le sens.
Pourtant, je suis un militant intensément vibrant, débordant, intéressant...
Alors vulnérable, oui.
Puisque le pays veulent envoyer les extrêmes, l'enfer pour le pays arrivent, et aussi dans l'Assemblée...
Puis un jour, vous m'écrirez...
Que mes textes en valaient la peine d'être écouté.
Même dans vos solitudes face aux extrêmes...
Nos moments dans la boue pour essayer de sauver nos idées...
Puisqu'on manque de militant...
Ce manque de communication...
Ce manque d'action...
Ce manque de tout...
Face aux visages éteints, en colère, à attendre un signe...
D'autre, préfère me clasher pour un nom, sans erreur de ma part, au lieu de tenter d'écrire ou proposer des idées et pouvoir enfin avancer...
Un jour, on m'écrira pour me dire : Seb, c'est dommage.
Je connais mon électorat. Mon chiffre. Oui. Je n'ai pas à rougir.
Nous nous réveillerons, ou nous nous endormirons dans ces décombres par une défaite, par un soir d'été...
Ce cap à Bordeaux pour bientôt, très proche. Souffler. Dans cette ville qui n'est pas la mienne. Pour me ressourcer.
Car je ne pourrais pas faire la différence en étant seul, ce n'est pas l'obscurité que je crains, mais ce qu'il risquera d'y avoir au bout si vous ne changez pas.
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